Cet été, les séances du "PleinOPENair" sont passées entre toutes les gouttes (ou presque). Même si les Dieux européens ne lui ont pas épargné la rafale (de peur peut-être qu"il n"abîme leur "caprice" chéri) , et si les hauteurs de Tour & Taxi lui ont été refusées en dernière minute (on l"y avait pourtant invité), le "PleinOPENair" est toujours retombé sur ses pattesŠ
Le temps de se sécher et revoilà le Nova. Au sec et au chaud, avec une programmation courte (trois semaines de courts métrages) et éclectique qui vaut le coup d"oeil.
Si en vous y rendant vous ne voyez plus le Nova, pas de panique : ce n"est pas votre vue qui est défaillante. La salle existe toujours, elle est seulement cachée par le grand chantier qui l"entoureŠ