Pionnier de la sexploitation, Joseph W. Sarno réalisa plus d"une cinquantaine de films tout au long de sa prolifique carrière. Aux Etats-Unis tout d"abord, où ses nudies ravirent toute une génération d"amateurs. C"était l"âge d"or du cinéma underground, les joyeuses années soixante. Il décide ensuite de s"envoler pour la Suède, cet eldorado supposé du sexe, où il se lance à corps perdu dans les films d"exploitation softcore et hardcore.
Le Nova vous propose ce mois-ci deux films rarement montrés chez nous (et en version originale sous-titrée bilingue encore bien) de la période new-yorkaise de ce maître du genre. Dans le jargon des spécialistes, il s"agit de suburban psycho-sleazes (puisqu"on vous le dit).