stallman

Tout commenca au début des années 70, à cause d’un problème d’imprimante. Richard Stallman, alors informaticien au prestigieux Massachussets Institute of Technology ne parvenait pas à faire fonctionner son imprimante et ne pouvait accèder au logiciel qui la contrôlait pour le modifier selon ses désirs et ses bes-oins.

Le constructeur lui répondait invariablement "secrets de fabrication", "brevets".

Ne pouvant accèder au code du programme, il ne pouvait donc le modifier et encore moins faire partager ses modifications à l’ensemble des utilisateurs.

Quelques années plus tard, Richard Stallman fondait la Free Software Foundation dont l’objectif principal était de créer des logiciels libres diffu—sés avec leur code source. Des logiciels que tout un chacun pouvait copier à l’infini, modifier selon ses désirs et bessoins et redistribuer à sa convenance. Des logiciels que personnes ne pouvaient s’approprier, des logiciels libres.

De là, se construit très vite la volontée de créer un un système d’exploitation libre : Linux. Répartis au quatre coins du monde, des milliers de programmeurs, de "fous du clavier" travaillent quotidiennement sur ce projet, animés par le seul désir de proposer un logiciel complet, efficace et ouvert à tous.

./ Act-Up

Malgré l’urgence et l’ampleur de l’épidémie du sida (36 millions de personnes) principalement dans les pays en développement, l’accès aux soins est freiné par les coûts prohibitifs des médicaments.

Les brevets tuent au quotidien, principalement parce qu’ils empêchent les pays de produire des génériques à bas pris, et d’ainsi permettre l’accès aux soins au plus grand nombre.

Face à une telle situation, ne faut-il pas simplement abolir la propriété intellectuelle pour pouvoir produire des génériques ?

./ ???

Un peu partout en Europe, diverses législations se mettent en place pour surveiller les communications téléphoniques et éléctroniques.

Logs de connections, surveillance généralisée et préventive de l’ensemble des connections, absence de contrôle judiciaire,...

Tout celà équivaut-il à la fin de la correspondance privée ?