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Concerts & Animations

Basé à Budapest, Besh O Drom est un collectif électro-acoustique d’une surprenante vitalité et créativité. Leur musique s’ouvrant à un éventail de sources sonores, mélodiques et rythmiques large mais cohérent. Avec Besh O Drom on navigue dans la musique traditionnelle hongroise, tzigane, du Moyen-Orient et des Balkans. Mais c’est surtout dans sa capacité à mélanger d’autres influences musicales, même très éloignées de ce que l’on pourrait considérer comme de la musique "ethnique", que se situe la singularité de Besh O Drom. Improvisations de jazz complètement débridées, rythmes funk, scratches djŠ selon les projets et les tournées, son répertoire de base peut ainsi se retrouver à incorporer de nouvelles facettes musicales. De paire, d’ailleurs, avec la variabilité du groupe de musiciens. Au PleinOPENair ils seront dix. Et attentionŠ
http://www.beshodrom.hu

16.08 > 20:00


Mesdames et Monsieurs, sortez vos robes du soir et vos costumes "smoking", vos paillettes et vos noeuds papillons... Avec Microdot l’atmosphère sera théâtrale et décadente, enjouée et disjonctée.
Pourtant ce n’est pas d’une pièce de théâtre qu’il s’agira (à moins de vouloir jouer le jeu avec eux !) mais bien d’un spectacle musical aux envolées "jazzy" mélodieuses. Mais attention : rien ne sera conventionnel et convenu comme de prime abord vous pourriez le croire. Car Microdot a l’art de savamment détourner des mélodies "jazzy" ou post-pop faussement sages, par des boucles sonores et autres rythmes décalés auxquels se greffent des jeux de voix (tantôt chantés, tantôt "spoken word") empreints d’un humour bien noir et caustique. Tout cela dans un décor visuel fait de jeux de lumières et de lampes à huile (pour le rendez-vous en plein-air, qui sait ?!). Donc, Mesdames et Monsieurs, nous avons le plaisir de vous présenter : Luc van Lieshout, Bruce Geduldig (deux ex-membres de Tuxedomoon) et Bernadette Martou. Mais, nous dit-on, d’autres complices sont susceptibles de monter sur scène avec eux...

17.08 > 20:00


La dissidence est un collectif Bruxellois né de la symbiose de deux organisations activistes qui touchent aux différentes disciplines du hip-hop en particulier et à d’autres, telles le théâtre et l’audiovisuel.
Ils se sont unis au nom de tout ce qui les sépare du mensonge et de tout aspect d’injustices légitimées. Bref, un discours qui se veut dénonciateur allant à contre-courant de toutes les mouvances Hip-Hop et de ses fourvoiements. Quand La Dissidence parle, son combat aspire viscéralement à se projeter plus loin que "le musicalement parlant". La dissidence est juste
un appel de prises de conscience qui font corroborer nos prises d’oppositions. Ni légendaire ni provocateur, juste un vouloir de partager nos visions du monde, secouer les consciences en vue de s’élever en une marche à suivre aux profils bas, intègre et sincère. Avec : DJ Obee One (DLP) K.R.A. (DLP) Manza (MAS) Mohamed Ouachen (MAS).
http://www.ladissidence.be.tf

23.08 > 20:00


TTC

Derrière des allures d’autoprod’ happy-house pourrie, leur disque "Game Over" de 1999 contenait pourtant le titre de rap français le plus ovniesque jamais entendu jusqu’à présent. Sur des beats calibrés produits par Dj Flash Gordon, trois cinglés déblatèrent de manière psychotique sur les
prédilections de Paco Rabane, tout en racontant au passage d’ironiques et crapuleux concours de plans cul... TTC est bien ancré dans la scène indépendante du rap français. D’un maxi à l’autre, le trio se forge une réputation et collectionne les collaborations live avec plusieurs pointures.
Les trois MCs balancent leurs textes proches de la démence déployant ainsi un humour bien cynique face à la scène hip-hop française. D’un titre à l’autre, l’auditeur est transporté dans un univers instrumental surréaliste ; sa conscience est sans cesse bombardée par des paroles absurdes et à double sens. Du pur plaisir, une matière musicale informe et aujourd’hui unique au sein de la scène française.

23.08 > 20:30


Le Black Mystic Erotic est un ensemble à géométrie variable. Une formation de deux, trois, quinze ou vingt musiciens qui se connaissent de longue date pour avoir sévi dans les mêmes groupes (Orange Kazoo, Harmadik Fül , Cosmic Slop, RazziaŠ). Adeptes de l"improvisation, ils jouent souvent ensemble mais ne répètent jamais.
Variable, leur répertoire l’est aussi : libre comme leur formation, on a parfois qualifié leur musique de free-groove, de jazz-rock à la Miles Davis, de musique ethniqueŠ En vérité, ils ne revendiquent aucun style, nom ou tradition, ce qu"ils donnent sur scène leur est propre. C’est peut-être leur nom qui résume le mieux leur musiqueŠ

24.08 > 20:00


Ce groupe franco-espagnol a son QG à Toulouse. Ses influences sont aussi variées qu’elles sont nombreuses. Ils sont huit et passionnés de reggae, mais aussi de jazz, de punk, latino et jamaïcaine... Amis de longue date, ils se rassemblent depuis dix ans pour partager de sauvages aventures et faire la fête sur les podiums. Et c’est sur les planches que l’on doit absolument les découvrir ! Ils chantent en espagnol, français et anglais, la scène remplie de percussions et d’instruments à vent. Une explosion de joie, de bonne humeur et d’énergie positive communicative. Leur musique est un mélange de rock-latino, reggae, ska et dub. Ils ne définissent pas comme "engagés", mais ne peuvent s’empêcher d’évoquer certains thèmes récurrents dans leur répertoire, tels la tolérance, l’antifascisme et le racisme.

06.09 > 20:00


Les fidèles du plein-air se souviendront de la séance de "poésie full contact", éructée il y a trois ans avant la projection de "Slam" par cette silhouette droite, alliant le mouvement de ses grands pas et la fixité de son regard, sautant du français au lingala, en passant par le latin et la parole rythmée du raggamuffin’ à la Linton Kwezi Johnson.
Pour Dread Litoko, la poésie urbaine, le slam, est un instrument incisif de dénonciation des violences raciales quotidiennes, déguisées ou non en humour de bas étage par ceux et celles qui les pratiquent. C’est aussi un outil féroce de démontage des institutions nationales et des alliances destructrices, d’ "Elizabitch" aux massacres du Rwanda.

07.09 > 20:00


Il y a quatre ans, alors que Blurt faisait une (ré)apparition attendue à Bruxelles et plus précisément au Nova, un journal anglophone de la capitale expliquait que "le Nova et Blurt sont faits l’un pour l’autre. Le premier est un petit cinéma apocalyptique, éclos dans le ventre d’une banque. Le second est un petit costume taillé dans les entrailles du rock et du spoken word. Vous pouvez adorer l’attitude ou la détester, il y a autant de raisons pour l’un comme pour l’autre"Š
Il y existe un lien particulier entre Blurt et Bruxelles. On ne sait plus très bien comment ce trio issu de la scène post-punk anglaise s’est ramifiée à la capitale de l’Europe, mais certains d’entre vous ont sans doute des souvenirs de "blurting" bruxelloisŠ
Aujourd’hui, et même si aucun enregistrement récent n’est là pour nous le rappeler, Ted Milton balade toujours son iroquois discret, sa voix chaude, ses coups de sax déjantés et sa poésie décalée, en compagnie de ses acolytes. La formule n’a rien perdu de sa force et inviter Blurt au PleinOPENair ne tient en rien de la nostalgie. Juste un retour aux sources. Good blurtations !
http://www10.brinkster.com/blurt

07.09 > 20:30


Les ogres, c’est Mathilde (flûte traversière, piano, clarinette, choeur), Alice (violoncelle, contrebasse, choeur), Fred (parolier, chant, accordéon et guitare) et Sam (violon, guitare, épinette des Vosges, trompette). Ils sont tous quatre frères et soeurs, pour de vrai ! A mi-chemin entre les VRP et Brassens, leurs chansons se situent dans la lignée de groupes comme les Têtes Raides ou La Tordue. Mais leur musique prend aussi des accents tziganes, tant cette famille est passionnée de voyages et imbibée par la culture des gens du voyage.
C’est ainsi que récemment, les Ogres ont collecté les fonds pour acheter un châpiteau, qu’ils ont appelé Latcho Drom. C’est parfois avec ce châpiteau qu’ils voyagent désormais, comme c’était le cas il y a quelques mois à BruxellesŠ

13.09 > 20:00


Samedi 14 septembre, c’est la Journée du patrimoine et c’est aussi la dernière date du PleinOPENair. Le rapport ? Les amoureux d"espaces verts, d"urbanisation harmonieus et de patrimoine savamment sauvegardé ; mais aussi tous les fans d’audace architecturale et de magouilles politico-immobilière, pourront le découvrir en se rendant au point de départ de notre grande visite guidée du patrimoine immobilier et européen à Bruxelles. Rendez-vous samedi 14/9 à 16h00, sur la place du Luxembourg. Qu’on se le dise !

14.09 > 16:00


Moscou. Une groupe de quelques musiciens en manque d’espace décide un jour de sortir dans la rue, au soleil, pour répéter des morceaux faits de rythmes ska, de cuivres, de banjo et de liberté. La foule apprécie, se rapproche. La recette plaît. C’est ainsi que les Pakavi It, fanfare moderne, naissent. Ils jouent dans les rues, dans les trains, quand l’envie les prend de surprendre et de réjouir les passants. Ils ouvrent une brèche dans la réserve habituellement de mise dans les grandes villes russes, où l’on ne joue dehors qu’avec un chapeau et une permission. Aujourd’hui Pakava It se produit dans les clubs, les anniversaires, les festivals ; ils jouent avec des acteurs, des danseurs, des poètes, ils se griment et se déguisent toujours différemmentŠ
Ce ne sera pas le premier voyage des Pakava It en Belgique. Ils gardent un souvenir impérissable de leur participation à "l’Antifar" avec les anversois du groupe Traktor qui, justement, viendront accompagner leurs amis moscovites au PleinOPENairŠ
http://www.pakava.msk.ru/

14.09 > 20:00


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